Que de fois, tout en pleurs, fuyant le genre humain, Et me fuyant moi-même en mon charmant asile, J'inonde ma poitrine et l'herbe du chemin ! Que de fois mes soupirs troublent l'air immobile! Que de fois, seul, en proie à mes rêves d'amour, Au fond d'un bois épais et d'une grotte obscure, Je  […]