Guillaume Apollinaire est né a Rome en 1880, de mère Polonaise et de père Italien. Il vecu tout d'abord a Monaco, puis a Nice. A 18 ans, il se rend a Paris ou il trouve l'occasion d'accompagner une famille en Allemagne en qualite de précepteur.
Il tombe amoureux de "miss", sa jeune élève anglaise du nom d'Anne Playden. Celle-ci le repousse, il s'imagine alors dans la peau du "mal-aimé".
De retour a Paris, il collabore a diverses revues, c'est l'heure des rencontres avec Alfred Jarry, Max Jacob et Picasso.
Dès 1907, le poète parvient a vivre de sa plume grace a son intense activité journalistique. A cette époque, il se lie avec Marie Laurencin.
En 1909, il publie "L'enchanteur pourrissant".
1912 est l'année de sa rupture avec Marie Laurencin, mais surtout de la publication de "Zone" dans "les soirées de Paris".
A partir de 1913, il s'installe dans son appartement du 202 Boulevard St Germain. Se rapprochant de plus en plus de l'avant-garde littéraire et artistique, il défend ardemment la peinture cubiste.
C'est a cette époque qu'il publiera son recueil "Alcools".
1914 est l'année des premiers "calligrammes", la guerre étant là, il décide de s'engager. C'est aussi a cette période, qu'il nouera une relation éphémères avec Louise de Coligny-Chatillon "Lou". Il en résultera les célèbres "poèmes a Lou".
En 1916, alors qu'il vient d'obtenir la nationalité française, il reçoit un éclat d'obus a la joue droite.
Lentement, me poète se remet de ses blessures, et on le voit reparaitre dans les milieux littéraires.
De jeunes gens se regroupent alors autour de lui, ils ont pour noms : Pierre Reverdy, Philippe Soupault et André Breton. Ils le considèrent comme le maitre de la génération nouvelle.
En 1917 se joue a Paris le drame "surréaliste" (mot créé par Apollinaire) intitulé "les mamelles de Tirésias". Puis parait le recueil "Calligrammes" qui rassemblent des textes écrits, des jeux graphiques.
Deux jours avant l'armistice, Apollinaire quitte ce monde laissant une œuvre novatrice.