Regarde longuement celui qui meurt. Voilà Ce que la guerre atroce à tout instant consomme : Elle puise en ce corps son effroyable éclat ; La gloire, c’est Verdun, c’est la Marne et la Somme, Une armée, c’est un flot compact et rugissant Où nul visage encor n’émerge et ne se nomme, Où des milliers […]
